04Oct

Tout ce qu’il ne faut (vraiment) pas dire durant un entretien

Cette fois c’est bon ! Le mail tant attendu nous a informé que notre candidature pour un poste de cadre commercial avait été retenu; la prochaine étape, c’est l’entretien de recrutement, une phase cruciale pour parvenir jusqu’aux portes de l’entreprise. Les conseils ne manquent pas pour se préparer au mieux, mais bien souvent il est encore préférable de savoir par où il ne faut surtout pas commencer sous peine d’élimination précoce. Il est donc temps de faire la liste des « epic fails » qu’on ne veut et qu’on ne doit surtout pas reproduire, au risque d’une grave crise d’ego :

  • « Parlez-moi de vous » : la phase aurait du sens…si elle était prononcée par le recruteur ! Le candidat doit se renseigner un minimum sur la société qu’il convoite et ne pas formuler de questions laissant entendre qu’il n’a pas effectué le moindre effort de recherche. Eliminatoire à 100% Recruter un bon Commercial , c’est recruter un candidat curieux !!
  • « Je ne m’entendais pas trop avec mon ancien patron » ou bien encore « Tout ne s’est pas très bien pensé dans mon ancienne entreprise »; franchement ? Comment le recruteur pourrait même commencer à accorder la moindre confiance si les premiers mots du candidats concernent des soucis avec une précédente société ? Il vaut mieux remiser les problèmes à la cave, sauf si l’employeur a eu vent de certains « retours », auquel cas il est bien sûr autorisé (voire conseillé) de se défendre et de se justifier; sinon, restons positif et souriant…
  • « Je me sens un peu nerveux ! »; quand on dit ce genre de chose, c’est que souvent, ça se voit déjà ! Cela s’appelle donc de la redondance, et ce n’est pas du meilleur effet; mieux vaut tenter de compenser les signes de sa nervosité par d’autres signes qui donneront l’’impression d’être décontracté…même si ce n’est qu’une attitude pour donner le change alors qu’on souhaite s’envoler par la fenêtre la plus proche.
  • « Je suis prêt à faire n’importe quoi pour obtenir ce Job ! »; manque de bol, on a pas été appelé pour n’importe quoi ou n’importe quel job, mais pour un seul en particulier, celui auquel on a postulé avec un joli CV. Attitude « larbin » : éliminatoire à 120% ! Sinon, montrer sa motivation est une bonne chose, mais on a dit la motivation, pas la boîte à cirage…
  • « Je sais que je n’ai pas trop d’expérience mais… »; mais non, pas du tout, même sans expérience on n’est pas là pour se rabaisser et jouer l’humilité comme s’il fallait passer sous la porte; chacun a des atouts à faire valoir haut et fort, y compris le plus débutant des débutants. Et puis, le manque d’expérience professionnelle se voit déjà dans le CV et donc, l’employeur est déjà au courant, non ?

Voilà donc déjà quelques conseils vraiment « de base » pour bien démarrer sa préparation d’entretien, mais la liste n’est bien sûr pas exhaustive; il faut aussi éviter de trop se mettre en avant, de jouer l’originalité à fond lorsque l’entreprise demande un profil bien cadré (« je sais penser en dehors des cadres ») et surtout, surtout, ne jamais demander le nombre de jours de vacances que l’on peut prendre à l’année… JAMAIS ! :)

 

 

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    30Sep

    5 franchises pour se lancer avec moins de 50 000 euros

    Les franchises poussent comme des champignons en France; en 2016, 2000 boutiques franchisées ont été créées. Mais comment se lancer lorsqu’on dispose seulement d’un petit capital ? Voici donc 5 franchises qui permettent de démarrer… sans se ruiner :

    Cavavin : une enseigne créée en 1985, qui vend essentiellement du vin, des alcools forts et du champagne. 150 boutiques ont été ouvertes en France et un nouveau franchisé peut démarrer avec un apport compris entre 30.000 à 35.000 euros (+ droits d’entrée de 16 500 euros).

    L’Onglerie : créée en 1983, L’Onglerie propose des produits de beauté pour les ongles, les mains et les pieds; L’enseigne compte 115 centre en France et l’apport personnel d’un nouveau francisé ne dépasse pas 15 000 euros (+ 12 500 euros de droits d’entrée); Une bonne adresse pour démarrer.

    Tryba : fondé il y a plus de 35 ans, Tryba est un spécialiste de la vente ainsi que de la pose de fenêtres, portes, et volets haut de gamme. L’enseigne compte 300 magasin, et se développe pour atteindre l’objectif de 400 boutiques d’ici 2020. Pas de formation initiale nécessaire, puisque l’entreprise s’occupe de la formation. L’apport personnel demandé est de 30 000 euros, sans aucun droit d’entrée supplémentaire.

    Valège : le spécialiste de la lingerie haut de gamme dispose aujourd’hui de plus de 70 boutiques, avec un objectif de 200 boutiques d’ici 2020. Les candidats à la franchise doivent avoir une première expérience dans le commerce et présenter un apport de 30 000 personnel (+ droits d’entrée de 15 000 euros).

    Ducs de Gascogne : spécialités du terroir et foies gras haut de gamme pour cette enseigne qui dispose d’un réseau de franchise de 9 boutiques. Le franchisé devra déjà maitriser les arcanes du commerce et présenter un apport personnel de 30 000 euros (minimum + droits d’entrée de 5000 euros).

     

     

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      30Sep

      Se mettre à son compte rapidement et sans se ruiner ? Quelques suggestions d’activités Freelance

      Décider de se mettre à son compte, en auto-entrepreneur ou en indépendant, est une étape importante dans sa vie, un pas supplémentaire vers une maitrise de sa propre activité, vers plus de liberté. Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, la liste est longue des « business freelance» que l’on peut démarrer très vite, sans beaucoup d’argent, et parfois même à domicile.

      Voici donc quelques suggestions :

      • Réparateur d’ordinateur. Tout le monde ou presque a un ordinateur, mais tout le monde ne sait pas ouvrir un boitier de PC pour changer un disque dur ou changer un ventilateur défectueux.
      • Consultant. Cela parait un peu « bateau », mais pour peu qu’on sorte d’une école de commerce orientée en marketing ou que loin dispose d’une formation pointue mais un peu tendue en terme de propositions de postes, cela peut être un bon choix
      • Correcteur. Les bloggeurs pullulent, les rédacteurs web se multiplient, et bien souvent les fautes d’orthographe aussi; certes, des logiciels spécialisés corrigent déjà un bon nombre de fautes de vocabulaire, mais pour tout ce qui est de l’ogre de la syntaxe ou de la construction des phrases, il peut être préférable de pouvoir compter sur quelqu’un qui sait vraiment écrire.
      • Auteur. Il n’est nul besoin d’être un écrivain dans l’âme pour écrire; dans la mesure où l’on connait parfaitement un domaine et qu’on souhaite faire partager son savoir, pourquoi ne pas écrire un ouvrage à ce sujet ? Les manuels et les guides ont toujours du succès du reste.
      • Planificateur d’événements. Les gens organisés ou qui ont le talent inné pour planifier des évènements de leur vie ne savent pas toujours que ces qualités peuvent être mises à profit dans une activité lucrative. Gérer les rendez-vous, organiser des meetings ou même un mariage, tout cela se paye.
      • Coach. Ce n’est plus vraiment très original, mais la tendance est encore vive. Coach de Yoga, Coach de motivation personnelle, Coach de communication, Coach de drague. Tout ce que l’on maitrise ou pense maitriser peut servir à former d’autres individus.
      • Décorateur d’intérieur pour particuliers. Là encore, c’est une tendance. Lorsqu’on sait marier les tons, qu’on a le sens de de l’espace « domestique » et un goût affuté pour la déco, pourquoi ne pas en faire profiter le plus grand nombre ?
      • Graphiste Freelance. Quantités de sites attendent l’illustrateur qui saura les sauver de Getty, quantités de boites de pub aussi.
      • Rédacteur Web. Des millions de sites, des millions d’informations qui circulent à la vitesse de la lumière, et jamais assez de personnes pour les rapporter.

       

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