29Sep

Devenir Franchisé : la prudence est de mise

Une franchise est souvent un bon marche-pied pour se lancer et devenir son propre patron. Les frais de reprise d’activité ou de gestion sont souvent relativement limités et bien sûr il y a la promesse de s’inscrire dans la continuité d’une société déjà existante, sans les nombreuses contraintes et les obstacles de la création d’entreprise « from scratch ».

Mais devenir franchisé, c’est aussi prendre un risque, celui par exemple de récupérer une boutique qui s’avérera être très vite un poids mort; afin d’éviter la casse, mieux vaudra donc redoubler de prudence lorsqu’il s’agira de se mettre à son compte dans le commerce ou les services. Afin de profiter en toute quiétude des avantages de la franchise (le poids rassurant d’une marque, des process déjà éprouvés ou bien encore soutient dans la gestion), il n’est pas inutile de se renseigner sur l’entreprise concernée.

Éplucher les bilans d’activité, se renseigner sur les évènements touchant l’entreprise (une simple recherche internet suffit parfois), consulter les audits de satisfaction réalisés par le cabinet indépendant « L’Indicateur de la franchise » ou bien encore demander au franchiseur le taux de renouvellement des contrats du réseau, sont autant de mesures à prendre si l’on ne veut pas se retrouver dans le filet d’un franchiseur sans scrupule. « Un cadre qui cherche à se reconvertir avec un pécule est une proie alléchante pour un franchiseur indélicat » , avertit en effet Pascal Lambert, le patron du cabinet de conseil Franchise Expert.

Pour ne pas se tromper, Il y a le choix des armes : la franchise concerne en France 1500 réseaux d’enseigne, de quoi trouver chaussure à son pied, sans trébucher dans la foulée. Avec pourquoi pas à terme, si l’on a bien mené sa barque, la possibilité de revendre son fonds de commerce à un montant très supérieur à celui de la franchise.

 

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    28Sep

    Entrepreneurs : les questions que l’on doit se poser avant de créer une entreprise

    Cette fois, ça y est, la décision est prise ! C’est le bon moment pour réaliser son rêve de toujours : créer son entreprise. Et forcément, on se pose un milliard de questions sur le comment du pourquoi, au point de ne pas savoir par où commencer.

    L’objectif d’une entreprise étant de dégager du chiffre d’affaires, autant dire qu’il ne faudra pas se tromper dans la liste des questions à laquelle on se devra de répondre au plus vite. Les bonnes questions emmènent les bonnes réponses et les bonnes réponses emmènent du cash-flow !

    C’est donc le moment de se poser les bonnes questions, primordial avant de se mettre à son compte

    • Quelle est la taille du marché visé par la nouvelle entreprise ? Forcément, vouloir lancer un service ou vendre un produit qui au mieux ne touchera que 0,1 % de la population est un pari perdu d’avance.
    • Quels sont les prix pratiqués sur ce marché ? Histoire de ne pas fixer une tarification totalement hors des clous.
    • Quelle est la composition démographique du marché visé ? « Ne pas vendre des peignes à des chauves » dit l’adage …
    • Quels sont les besoins de ce marché ? Forcément, les concurrents n’ont pas couvert tous les besoins; il doit bien rester un moyen de se différencier tout en restant utile
    • Quelles sont les communautés de ce marché ? Surfer sur les bonnes tendances pour mieux communiquer
    • Quels sont les concurrents ? Au moins, on est au courant qu’ils existent, et il devient possible d’analyser leurs possibles faiblesses … ainsi que leurs forces.

    Énoncées à la suite, ces questions semblent à priori de bon sens; et pourtant, bien peu d’apprentis Startuppers pensent vraiment à se les poser avant de se lancer.

    Nous on a un stock de réponses et de solutions pour créateurs d’entreprise !!

     

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      27Sep

      Chefs d’entreprises : les erreurs à ne pas commettre

      Une étude du Harvard Business Review vient de jeter un (gros) pavé dans la mare; dans les 18 mois qui suivent leur prise de fonction, la moitié des dirigeants des grosses et moyennes entreprises se font évincer pour des erreurs de décision ou d’évaluation du marché souvent récurrentes. Ce turnover coûte aussi très cher puisque, sur les 2500 entreprises passées au crible par PwC entre 2000 et 2014, les actionnaires de ces mêmes sociétés ont perdu en moyenne 1,8 milliards de dollars directement imputable à la valse des dirigeants.

      Lorsque les CEO déçoivent, c’est aussi souvent pour les mêmes raisons :

      Le nouveau dirigeant veut inscrire trop vite sa marque sur l’entreprise, afin de « justifier » son poste tout frais (et ses émoluments); le problème, c’est qu’une prise de décision trop rapide peut avoir des effets dévastateurs sur la stratégie globale de l’entreprise, sans compter que des changements brutaux peuvent « braquer » le reste de l’équipe dirigeante. Solliciter un retour d’information avant d’agir, ou bien encore faire un audit permet e prendre ses marques en douceur et de prendre du recul sur une situation souvent déjà compliquée (sinon on ne ferait pas venir un nouveau dirigeant).

      – L’autre profil du dirigeant en échec concerne celui qui ne sait pas transmettre la vision et la mission de la société. Si l’on ne sait pas communiquer et expliquer, il sera beaucoup plus difficile de convaincre les cadres et aussi les employés du bien fondé des changements à venir. Et le dirigeant se retrouvera sur la sellette au moindre faux pas.

      Le dirigeant tyrannique, qui pense qu’il obtiendra tout par la peur, est aussi sur un siège éjectable à très court terme, car il n’est pas possible d’obtenir une vraie confiance et un vrai engagement de la part de ses collaborateurs directs si ces derniers estiment qu’ils peuvent perdre leur poste au moindre mouchoir qui tombe. Difficile aussi d’embaucher des pointures lorsqu’on promet l’enfer aux nouveaux arrivants. Les CEO autoritaires et « justes » sont légions (Steve Jobs et même Bill Gates n’étaient pas des tendres), mais les tyranniques assoiffés de pouvoir ont déjà été oubliés.

      Le capitaine d’un voilier n’est efficace que si les hommes à bord le sont aussi; il en va de même pour un chef d’entreprise qui n’aura pas su s’entourer des meilleurs à cause d’une méthodologie de recrutement déficiente (le flair ?); et il ne sert à rien d’être un bon visionnaire sur son marché ou un bon stratège si on doit se retrouver tout seul à la barre parce que les collaborateurs ne comprennent rien à ce qui se passe.

      La liste des « epic fails » de nos chers CEO n’est bien sûr pas clause avec cette liste des « 4 erreurs à ne pas commettre »; après tout, un chef d’entreprise est aussi un homme comme les autres…

       

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